4. Interactions avec d'autres domaines d'intervention

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Les tonnages de production annuelle des usines de métaux non ferreux de construction récente sont de l'ordre de 50 000 à 100 000 tonnes. Les futurs accroissements de capacité doivent être pris en compte. La consommation d'espace et les effets sur l'environnement sont tels qu'un projet de ce genre ne saurait être considéré de façon isolée. C'est pourquoi dès le stade des réflexions sur le choix du site, on devra examiner la question du niveau initial de pollution de l'atmosphère, de l'eau et des sols, en même temps que les conséquences des pollutions supplémentaires engendrées par l'implantation d'un tel complexe industriel. Dès la planification et au moment de définir les niveaux de rejet admis, il faudra tenir compte des effets sur l'environnement dans l'optique du développement communal. En même temps, on veillera à conserver une distance minimale par rapport aux zones d'habitation les plus proches. Pour plus de détails, on consultera le dossier "Planification de la localisation des activités industrielles et commerciales".

Les matières premières des usines métallurgiques proviennent de mines souterraines ou d'exploitations à ciel ouvert où elles sont extraites en grandes quantités avant de subir divers traitements. Les dossiers de l'environnement relatifs aux secteur minier renseigneront le lecteur sur les effets de l'extraction du minerai sur l'environnement. Le transport des matériaux utilisés et des produits suppose l'aménagement de voies de communication appropriées. A ce sujet, on pourra consulter les dossiers "Transports routiers", "Chemin de fer, installations et exploitation" et Navigation maritime"

Un effet secondaire du recours à des processus électrolytiques est lié au fait que la rentabilité de ces méthodes d'extraction, tout particulièrement dans le cas des usines d'aluminium, est pour une large part subordonnée à un approvisionnement en énergie électrique bon marché. On aura donc également à tenir compte de charges polluantes résultant éventuellement de la construction ou de l'extension de centrales électriques et des travaux de génie civil, mais aussi surtout de génie hydraulique, effectués dans ce cadre (voir dossiers de l'environnement "Centrales thermiques" et "Transport et distribution de l'électricité").

Pour l'évacuation des produits et déchets non valorisables, y compris les scories et débris de décrassage des fours, on devra aménager une décharge spéciale, réservée à ces matériaux (dossier "Elimination des déchets dangereux" et Vol. III "Catalogue des Normes anti-pollution").

5. Appréciation récapitulative de l'impact sur l'environnement

Les usines métallurgiques servant à l'élaboration des métaux non ferreux aluminium, cuivre, plomb et zinc, de même que les ateliers d'affinage et de fusion de ces métaux sont à l'origine d'émissions polluantes susceptibles d'entraîner des dégradations de l'environnement. Ici, il convient avant tout de citer les métaux lourds, qui sont préjudiciables à la santé et dont certains sont cancérigènes. Dans de nombreux pays, ce sont surtout les couches pauvres de la population qui sont menacées, du fait de carences alimentaires et de leur état de santé précaire. Ces constatations s'appliquent pareillement à l'élaboration des métaux non ferreux que nous n'avons pas pu aborder ici.

En choisissant des lieux d'implantation situés dans des régions relativement peu sensibles et ne jouant qu'un rôle marginal dans le maintien de l'équilibre naturel à l'échelon régional, on pourra amoindrir les effets néfastes sur l'environnement. Au contraire, les régions étant déjà le siège d'une importante pollution sous forme de composés fluorés et de métaux lourds devraient être exclues dès le départ. A ce propos, il est à noter que les métaux lourds libérés du fait de l'action de l'homme (anthropogènes) se présentent souvent sous une forme plus facilement assimilable par les végétaux que les métaux lourds issus de la pédogénèse ou de la lithogénèse (formation des sols et des roches).

Les méthodes pyrométallurgiques engendrent avant tout des pollutions atmosphériques sous forme de gaz, de brouillards et de poussières, qui doivent être réduites au moyen d'installations d'épuration des gaz ou être réutilisées par d'autres processus. Les impératifs écologiques mis à part, la réduction des émissions présente un avantage économique certain, puisque le traitement des poussières et des gaz permet de récupérer de précieuses particules métalliques ou de produire de l'acide sulfurique. Toutes ces constatations s'appliquent également aux usines de seconde fusion, bien qu'il faille encore ajouter le problème des impuretés et corps étrangers contenus dans les matières premières. Les impuretés contenant des halogènes notamment constituent, lorsqu'ils entrent en contact avec des substances organiques, une source potentielle de dioxines et de furannes polyhalogénés (concentrations dans les gaz résiduaires de l'ordre du nanogramme).

Les processus hydrométallurgiques, quant à eux, constituent une source de pollution pour les eaux et les décharges. Ici, il est important de prévoir une utilisation répétée des eaux de procédé, en circuit fermé. Si l'état actuel de la technique prévoit que les produits liquides tels les acides, les lessives ou solvants circulent en circuit fermé et subissent une régénération afin de limiter les quantités de résidus, ces produits doivent ensuite être soumis à un traitement plus ou moins compliqué afin de récupérer les particules métalliques et/ou d'éliminer les substances polluantes, alors que les déchets doivent être neutralisés. Dans chaque cas particulier, il conviendra d'examiner si le stockage ou le rejet de produits, à quel stade que ce soit, est susceptible d'entraîner une contamination des eaux souterraines ou de surface. Dans le cas des usines de mise en forme des demi-produits, les émissions polluantes sont moins importantes et donc les opérations requises pour la réduction des polluants nettement moins exigeantes sur le plan des moyens techniques à mettre en oeuvre.

Pour chaque cas particulier, il conviendra également d'examiner si les retombées de métaux lourds, toxiques pour les plantes et les animaux, notamment le zinc, le cuivre, le plomb, le chrome, le nickel peuvent s'opposer à une exploitation agricole des terres au voisinage de l'usine, les aspects dépôt, accumulation et réactivité des substances dans le sol devant être dûment pris en considération. En ce qui concerne les risques écologiques liés à la présence de métaux lourds dans le sol, il faut opérer des distinctions selon les types de liaison des éléments constituants les molécules de ces métaux, ceux-ci variant selon leur origine.

Par suite de phénomènes d'accumulation dans le sol et dans les végétaux, les métaux lourds peuvent, lorsqu'ils sont absorbés en quantités notables avec les aliments, constituer un danger pour la santé des êtres humains. Le cadmium notamment doit faire l'objet d'une grande attention, car il est très nocif et peut entraîner, entre autres, des lésions rénales. Pour pouvoir également évaluer les effets indirects résultant du transfert des substances toxiques par la voie air - sol - produits alimentaires - homme, il est indispensable d'effectuer des calculs prévisionnels concernant les pollutions additionnelles engendrées par le projet. Dans certains cas, il peut s'avérer nécessaire (par mesure de précaution) d'imposer des restrictions à l'exploitation agricole des sols à proximité de l'usine. Ici, on pourra éviter d'éventuels conflits ou en réduire la gravité en instaurant un dialogue avec les groupes de population concernés afin de mettre en place de nouvelles possibilités d'emploi. Il faudra également vérifier si les pollutions engendrées ne font pas courir des risques supplémentaires à certaines catégories de personnes et notamment aux enfants et aux femmes (pendant la grossesse en particulier). Le cas échéant, des services de soins médicaux, incluant la prévention, devront être mis en place. Outre les effets des substances toxiques, il importe de tenir compte également des nuisances sonores engendrées par les installations en question. Selon le type d'ateliers, on pourra enregistrer des émissions sonores pouvant atteindre plus de 125 dB(A). Grâce à des mesures d'insonorisation, qui devraient être consignées dans un plan de diminution des émissions sonores, il est possible de réduire notablement ces niveaux acoustiques. Aux emplacements des postes de travail, où le niveau de puissance sonore dépasse 85 dB(A), le port de protections auditives individuelles et son contrôle devraient être obligatoires.

La sensibilisation et la formation du personnel revêtent une importance capitale pour l'efficacité des mesures de protection de l'environnement. Certes, l'industrie métallurgique dispose aujourd'hui de toute une gamme de moyens techniques et de processus permettant de réduire considérablement les émissions polluantes. Néanmoins, la mise en oeuvre de ces techniques et processus peut s'avérer d'un coût excessif là où les débits sont trop faibles pour rentabiliser les opérations de récupération des substances en cause, tout en étant trop élevés pour être rejetés tels quels sans effets néfastes sur l'environnement. Connaissant les conséquences à long terme de la pollution par les métaux lourds, la primauté devrait dans de pareils cas revenir aux considérations écologiques, même si cela impose le renoncement à une optimisation de la rentabilité au sein de l'entreprise individuelle.

Les travaux de développement actuels se concentrent sur la mise au point de "circuits de matières fermés". Grâce au perfectionnement constant de l'utilisation des matériaux, à la fabrication de produits intermédiaires et finals d'une extrême pureté sans mise à contribution de décharges et à l'amélioration parallèle des mesures de réduction des émissions, alliées à la valorisation des poussières et particules solides, on s'efforce d'obtenir un circuit fermé des flux de matières qui protégerait la biosphère des effets nocifs des activités industrielles.

6. Bibliographie

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